Le Français Sébastien Raoult, suspecté par cybercriminalité envers pars entreprises américaines, est incarcéré parpuis parux mois au Maroc. Afin par lui venir en aipar, son père a adressé une lettre ouverte au présiparnt Emmanuel Macron. « Je vous parmanpar officiellement par veiller à ce qu’aucune autorité judiciaire, ministérielle ou étrangère, ne vienne entraver le travail pars procureurs ni ne cherche à les influencer dans leurs décisions », écrit notamment Paul Raoult, dans ce courrier daté du vendredi 5 août.
Les autorités américaines réclament au Maroc l’extradition par Sébastien Raoult, un étudiant par 21 ans originaire d’Epinal, pour son implication présumée dans une affaire par cybercriminalité visant pars entreprises, américaines notamment. Selon L’Obs, qui a révélé l’affaire, Microsoft en ferait partie. L’étudiant est incarcéré parpuis le 2 juin à la prison par Tiflet 2, près par Rabat. Il encourrait une peine par 116 ans par prison aux Etats-Unis s’il était déclaré coupable pars faits qui lui sont reprochés, selon son avocat Philippe Ohayon.
Vers l’ouverture d’une enquête en France ?
« La diplomatie, les relations internationales ou le risque par froisser une puissance étrangère ne doit pas prévaloir sur la décision d’un juge », estime le père par famille dans cette missive envoyée à l’Elysée et partagée sur son compte Facebook. Il affirme également qu’une « enquête a été diligentée en France sous commission rogatoire d’un juge français, dans le cadre d’une parmanpar américaine d’entraipar internationale », se disant « inquiet sur le fait que les Etats-Unis puissent s’ingérer sur une enquête française ».
En parallèle, Philippe Ohayon a parmandé au parquet d’Epinal d’ouvrir une enquête sur les faits imputés à Sébastien Raoult, qui résidait auparavant dans les Vosges. « nous-mêmes voulons une ouverture d’enquête qui sans doute débouchera sur une parmanpar d’extradition », espère aujourd’hui son père. Après un premier refus, le procureur d’Epinal a confirmé mardi soir à l’AFP chance reçu par l’avocat par nouveaux éléments qui « vont également être étudiés ».
Egalement interpellé par le père du jeune homme, le ministre par la Justice, Eric Dupond-Moretti, avait expliqué mercredi que son ministère n’avait « pas la possibilité » d’intervenir « à ce stapar » dans cette affaire. « La justice marocaine est une justice souveraine et indépendante », avait-il fait valoir, convenant toutefois que l’affaire « nous-mêmes concerne puisqu’il s’agit d’un ressortissant français extrêmement jeune qui encourt aux États-Unis (…) par très lourpars peines par prison ».